L’amérique n’est pas pressé de devenir grande

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Америка не спешит становиться великой

En dépit des promesses de campagne de Donald Trump accélérer la croissance économique de 4% par an, jusqu’à ce que cela n’arrive pas. Au contraire, la croissance du PIB Des états-Unis a chuté à trois ans minimum. D’ailleurs, les économistes s’attendent à un essor dans l’avenir, en se concentrant sur des données du marché du travail et de bonnes conditions pour l’investissement.

Lors de la campagne électorale, le candidat à la présidence des états-UNIS, Donald Trump a promis d’élever le taux de croissance de l’économie du pays jusqu’à 4% par an — mais jusqu’à ce que la réalisation de cette promesse semble très improbable.

Dans le premier trimestre de 2017, l’économie des états-UNIS montre les pires indicateurs pour les trois dernières années, car la forte baisse des dépenses de consommation. Selon les estimations du Bureau d’analyse économique des états-UNIS, le produit intérieur brut — le volume total de la production de biens et services produits par l’économie ont augmenté en glissement annuel de 0,7% au cours des trois premiers mois de 2017, après une hausse de 2,1% au dernier trimestre de l’année 2016. Dans ce cas, selon le consensus des prévisions des analystes, s’attendait à une croissance de 1,2%.

C’est la pire trimestriel taux à partir de 2014, quand, en janvier – mars de l’économie s’est contractée de 1,2%.

D’ailleurs, les économistes mettent en garde contre les conclusions hâtives. «Au cours des dernières années, on a observé une tendance stable de la croissance du PIB, de la déception des au premier trimestre et ускоряющаяся pendant les trois autres. À partir de 2010, la croissance moyenne pour le premier trimestre est de seulement 0,9% par rapport à 2,4% dans chacune des trois autres trimestres», dit l’économiste de Capital Economics Paul Эшуорт.

Les représentants de la réserve Fédérale (FED) aux etats-UNIS auparavant étions que de ne pas attacher trop d’importance à l’intimidant trimestriels termes de PIB et que ces données sont peu auront un impact sur l’intention de la FED à plusieurs reprises pour augmenter les taux d’intérêt cette année.

En mars-clé le taux a augmenté de 0,25 p. p., à la plage de 0,75% à 1%, le régulateur prévoit encore deux augmentations jusqu’à la fin de l’année.

Au premier trimestre, le ralentissement de la croissance du PIB a été principalement due à un ralentissement des dépenses de consommation, dont la croissance s’élève à 0,3%, son plus bas niveau en sept ans, note The Independent. Les analystes expliquent cette anormalement chaud en hiver, ce qui équivalait à une réduction des coûts de chauffage au gaz et de l’électricité (généralement essentiels pour tous les ménages).

Selon le rapport du gouvernement, en avril aux états-UNIS est apparu 211 milliers de nouveaux emplois, en mars, ce chiffre était de 79 mille Avec le début de l’année, le gain d’emplois est d’environ 190 mille emplois par mois, ce qui est environ égal à celui de l’année dernière. En outre, le taux de chômage pendant ce temps a diminué de 4,5 à 4,4% et a atteint le niveau minimum à partir de mai 2007. Si elle tombe encore plus bas, ce chiffre va atteindre de 16 ans minimum. Les experts soulignent que l’augmentation du marché du travail a également neutralise l’excitation concernant la croissance du PIB.

Un autre indicateur important — апрельские les données sur les ventes au détail. Il est prévu que, après une récession en mars et février, ils iront vers le haut, juste grâce à l’augmentation du nombre d’emplois. Aujourd’hui, aux etats-UNIS, plus de personnes que n’importe quel point dans le temps à partir de 2007, les salaires augmentent, les taux d’intérêt sont bas, les ventes de logements stables, et la confiance des consommateurs est grande. En d’autres termes, les ménages n’est aucune raison d’économiser, note Marketwatch.

La faiblesse des dépenses de consommation «ne répond pas à la force de l’économie», dit Richard Moody des Regions Financial. De plus, selon les experts, une grande partie de la faiblesse des ventes en mars était à des facteurs temporaires, tels que les mauvaises conditions météorologiques et le faible remboursement de la taxe. Par exemple, Pâques cette année a eu lieu en avril au lieu de mars, comme il a été en 2016. Ayant reçu d’impôt, les retours, les américains ont pu passer plus de biens et services.

Outre les ventes au détail, Wall street attire particulièrement l’attention sur les trois premiers «baromètres de l’inflation», qui reflètent, autant que les prix ont augmenté pour les importateurs, les grossistes et les consommateurs. Au cours de la dernière année, l’inflation a considérablement augmenté en raison de la повысившихся des prix de l’essence et du loyer. Par exemple, en février, l’indice des prix à la consommation annualisé atteint de cinq ans maximum à 2,7%. Toutefois, maintenant, apparemment, l’inflation a diminué à mesure de l’alignement de la croissance des salaires, de la lenteur d’améliorer le paiement des loyers et le prochain décollage du prix du pétrole. Le taux d’inflation, mesuré par l’IPC peut descendre en avril à 2,2%.

En dépit de ne pas les meilleurs indicateurs à moyen terme, cela peut jouer sur la main des hommes d’affaires. La baisse de l’activité économique rend l’investissement plus chères, estime le président du conseil d’administration de Berkshire Hathaway de Warren Buffett. «Malgré le fait que tout le monde a peur, nous savons que l’Amérique de tous faire face. Nous devons croire en sa stabilité», a — t-il déclaré lors de la réunion annuelle de la société.

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