La droite dénonce une « guerre des bandes » et un échec du chef de l’Etat, qui peine à convaincre sur la question sécuritaire.
Après l’« été Orange mécanique » en 2020, place à la « guerre des bandes » de l’hiver 2021. Il y a six mois, le président de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, avait brandi la première expression à la suite d’une série de faits divers très médiatiques afin d’appuyer sur « l’immense faillite » d’Emmanuel Macron : la lutte contre l’insécurité. C’est aujourd’hui la deuxième que la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, met en avant au moment où des rixes entre jeunes émaillent l’actualité.
Lundi 8 mars, l’une d’elles a fait deux blessés graves à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), des adolescents de 14 ans et 16 ans. Le même jour, dans le Val-d’Oise, une jeune fille de 14 ans était retrouvée morte dans la Seine après un différend avec deux élèves de sa classe. Ces événements s’inscrivent dans la foulée du décès de deux adolescents de 14 ans lors de rixes dans l’Essonne, fin février, ainsi qu’à des phénomènes de violences urbaines dans le Rhône et dans l’Oise, ou encore à l’agression, en janvier, à Paris, du jeune Yuri.
Après l’« été Orange mécanique » en 2020, place à la « guerre des bandes » de l’hiver 2021. Il y a six mois, le président de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, avait brandi la première expression à la suite d’une série de faits divers très médiatiques afin d’appuyer sur « l’immense faillite » d’Emmanuel Macron : la lutte contre l’insécurité. C’est aujourd’hui la deuxième que la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, met en avant au moment où des rixes entre jeunes émaillent l’actualité.
Lundi 8 mars, l’une d’elles a fait deux blessés graves à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), des adolescents de 14 ans et 16 ans. Le même jour, dans le Val-d’Oise, une jeune fille de 14 ans était retrouvée morte dans la Seine après un différend avec deux élèves de sa classe. Ces événements s’inscrivent dans la foulée du décès de deux adolescents de 14 ans lors de rixes dans l’Essonne, fin février, ainsi qu’à des phénomènes de violences urbaines dans le Rhône et dans l’Oise, ou encore à l’agression, en janvier, à Paris, du jeune Yuri.