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La France accentue la pression sur Téhéran pour qu’il accepte l’accord nucléaire, car il est maintenant sur la table. Selon la ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna, il n’y aura pas de meilleur accord pour l’Iran qu’il n’y en a actuellement.
L’accord nucléaire de 2015 avec l’Iran était censé empêcher le pays islamique de développer une bombe nucléaire. Mais l’accord est suspendu depuis que les États-Unis se sont retirés de l’accord en 2018.
Des mois de pourparlers entre l’Iran, l’Allemagne, les États-Unis, la Russie, la Chine, la France et la Grande-Bretagne visent à lever les sanctions américaines contre l’Iran. En retour, l’Iran doit réduire son programme nucléaire. Téhéran insiste sur le fait que ses activités nucléaires sont exclusivement à usage civil.
L’Iran lui-même a soumis une proposition pour mettre fin au différend il y a environ une semaine, en réponse au compromis proposé par l’UE. Les détails à ce sujet ne sont pas connus. Les Nations Unies ont appelé à la flexibilité pour parvenir à une solution.